Sentant un peu moins de la météo d'hier - réaction sans doute mon corps sur le fait que San Francisco est devenue subitement ensoleillée -, j'ai décidé de prendre une escapade autour de l'Internet pour des idées de colonne. Mon délai a été de 24 heures entières, mais cela ne fait pas mal de se préparer, non?Ma première découverte fut cette histoire d'un ours qui s'était coincé dans un skate park Colorado, vraisemblablement après l'effraction de pratiquer sa Ollies, ou quoi que ce soit ne porte sur les planches à roulettes. L'ours a été finalement sauvé lors de gens de la ville a chuté d'une échelle dans le parc, lui permettant de grimper à la liberté.
Pour toute personne normale, un ours piégés dans un skate park serait guère plus qu'un newsbite réconfortant, un récit décalé pour distraire d'une autre semaine de guerre et du terrorisme et des enfants enlevés qui vivent dans les arrière-cours à Antioche. Mais pas pour le chroniqueur tech paresseux à la recherche d'inspiration.
Pour le chroniqueur tech paresseux en quête d'inspiration, un ours piégés dans un skate park devient facilement une métaphore de l'attitude de certains types de Silicon Valley qui sont piégés dans leur petite bulle de Californie du Nord et ne se rend pas compte - ou de soins - qu'il ya un monde à l'extérieur. Et l'échelle, je suppose, représente le chroniqueur dont le travail consiste à fournir échapper à l'ignorance. Parfait. Une autre boîte de samedi cochée. Circulez, rien à voir ici.
Mais comme j'étais sur le point de fermer Firefox et commencer à griffonner des blagues planche à roulettes dans mon bloc-notes chroniqueur spécial, un autre titre a attiré mon attention, cette fois de CNET. On y lisait: «Le projet de loi serait donner au président de commande de secours d'Internet». Wow, j'ai pensé, ce gars-là le projet de loi sonne comme une bite.
Mais non, car il s'est avéré que le projet de loi en question est le Rockefeller Snowe Bill (S.773), remarquable tant pour être le premier morceau de la législation américaine à être nommé d'après un titre Fatboy Slim et pour le fait qu'elle donne la Président le pouvoir de fermer l'Internet chaque fois qu'il en a envie. Sans surprise, les 1000 + commentaires sur l'article sont un peu hostile, aidé par un lien de Matt Drudge, qui pensif ajouté son propre peur citations autour du mot «d'urgence».
«Cela n'a rien à voir avec" prorecting »[sic] de l'Internet», écrit un commentateur, «et tout à voir avec la puissance ivre, dicatorial [sic] Obama s'engager dans une sic unprecedendted [], prise de pouvoir inconstitutionnelle, orchestrée par sa frange lunatique psychotiques "tsars".
Une déclaration audacieuse, à partir de cette personne rare qui peut être synonyme de «psychotique» et «tsars» que se heurtaient à de «protéger».
«Pouvez-vous dire:« César Chavez? " ', Demanda à un autre, sans doute rhétorique - tandis qu'un troisième a réussi à disputer deux points en parlant dans une une signification avec:« Bien sûr, cela va de pair avec le non-sens Obamacare que le gouvernement aura un accès direct à vos comptes bancaires si cette BS Obamacare devient loi. Hitler tout recommencer ».
Bien dit, Monsieur. C'est un scandale que le projet de loi cybersécurité Adolf Hitler et les propositions de soins de santé ne reçoivent pas les critiques qu'ils méritent. Mais derrière la rhétorique megaditto, certains des intervenants ne disposent effectivement d'un point. Contrairement PATRIOT Act de l'administration précédente, qui défend la liberté de l'information par l'écoute électronique tout homme, femme et enfant en Amérique, Rockefeller des démocrates-facture Snowe ne sonne assez flippant et envahissantes.
Tout le président a besoin de faire est de déclarer l'état d'urgence et il aura le droit de déconnecter les citoyens américains sur le web, accéder à leurs ordinateurs et de hack, même dans les serveurs d'entreprises privées. C'est un pouvoir terrible-grab pour une utilisation dans une situation d'urgence non spécifié.
Ou du moins il le serait. Si c'est ce que le projet de loi effectivement proposé.
En fait, dans sa forme actuelle, le pire le projet de loi est de clarifier le pouvoir du président actuel de prise de contrôle limitée des réseaux de communication en cas d'urgence nationale ou de guerre. Comme le Président Bush a été en mesure d'ordonner à tous les avions qui doit s'appuyer sur Septembre 11, le projet de loi permettrait au Président Obama à la terre les parties d'Internet dans des circonstances similaires.
Mais à ce stade même de ces pouvoirs ne sont pas définies dans la pierre - le projet de loi en est encore à l'état de projet, ayant déjà été remanié après que des objections très tôt que la formulation était trop vague. Et il est encore trop vague, au point où Larry Clinton, président de l'Internet Security Alliance, explique: "nous ne pouvons pas analyser correctement, et encore moins soutenir le projet de loi."
En effet. Ce que nous avez ici est une situation classique d'un projet de loi ambiguë rédigées, même pas près de passer, mais qui a la capacité de générer quelques titres assez effrayant. La semaine dernière, il a été panneaux de décès, cette semaine, c'est Obama voler nos Internets. Comme un ours piégés dans un skate park, des critiques - principalement du Président plutôt que le projet de loi - sont en cours d'exécution en rond, sans aucune sorte d'information échelle pour les aider à sortir de son puits de la paranoïa.
Et si, comme toujours, il me revient de fournir cette échelle manquante. Ne me demandez pas comment (* cough * hacker français * cough *), mais j'ai réussi à mettre la main sur une copie d'une note secrète envoyée aux sénateurs Rockefeller et Snowe par la Maison Blanche, indiquant exactement quels sont les pouvoirs Obama veut au cours de la Internet, et pourquoi.
Je pense que vous serez d'accord, il rend la lecture très intéressante ...
Hey sénateurs,
S'il vous plaît trouver ci-dessous liste cadeaux président Obama pour prendre le contrôle de l'Internet. Comme promis, ces pouvoirs ne seront utilisées que dans le cas d'un ressortissant "d'urgence" ;-) ....
1) Dans le cas d'une «urgence», diminution du nombre de scrutin, le président doit veiller à ce que des copies de Bold Fresh Bill O'Reilly's 'Piece of Humanity' et Rush Limbaugh's 'The Way Things devraient être »sont automatiquement supprimés de la allume nation et remplacée par «The Audacity of Hope». (Note: contrairement au projet précédent, il est désormais inutile d'étendre cette approche à Ann Coulter de «trahison», comme c'est déjà pratiquement illisible)
2) Si le déficit américain dépasser 20 milliards de dollars, le président aura besoin de prendre en charge des serveurs privés pour envoyer un e-mail "d'urgence" 419 scam message à tous les citoyens américains. Dans ces courriels, le Président invitera les Américains à lui faire parvenir leurs coordonnées bancaires, afin qu'il puisse l'utiliser pour traiter la fortune de son défunt oncle. De toute évidence, il va demander leur coopération confidentielle dans cette affaire, en échange d'une part du produit.
3) Après l'essai réussi récemment en France, le président exige la possibilité d'activer les iPhones de l'un des ennemis de l'Amérique dans les dispositifs d'exploser. Ou 'liberté Phones.
4) Si le taux de chômage des États-Unis continuent d'augmenter, le Président a besoin la possibilité de commander la fermeture de World of Warcraft, ce qui oblige des millions d'Américains pour sortir et obtenir fucking emplois.
5) En cas de "d'urgence" mauvaise presse sur un projet de loi mal rédigé la cybersécurité, le Président aura besoin un accès sans entrave aux serveurs Drudge Report pour supprimer tous les «effrayer les quotes '. Cela permettrait d'éviter Drudge d'utiliser le titre «Le projet de loi donnerait« président »de contrôle d'urgence de l'Internet» d'avancer que Obama pourrait bien décider de nuke l'ensemble du Web, car il est dans un mauvais jour.
6) En cas d'urgence de la mauvaise presse 'se poursuit, Obama aura besoin pour consolider leur soutien en ordonnant que le hashtag' # Ilovethepresident 'être annexée à tous les tweets. En réponse à des menaces précises, il mai également demander que les sujets orientés être remplacée par une nouvelle liste approuvée, y compris: everythingisfine #, nothingtoseehere #, lookoverthere #, # # areyoukiddingme et theotherguywasfarworse
Ok, that's all for now! Passons cette chose, camarades!
Liebe Grüße,
César Chavez
Directeur des politiques, la Maison Blanche
Donc là vous l'avez. L'ours de l'ignorance, sauvé par l'échelle des faits. Mon travail ici est fait: laisser la maturité, un débat informé commencer.
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