Employé de Microsoft de la Russie est lié à Spy Ring

Microsoft a reconnu que Alexey V. Karetnikov, aurait été le 12ème membre d'un groupe d'espions russes arrêtés le mois dernier, a travaillé pour la société à son siège à Redmond, Washington.

Un porte-parole a confirmé que la société Karetnikov était employé pendant neuf mois en tant que testeur de logiciels d'entrée de gamme.

Karetnikov page de Facebook indique qu'il a travaillé comme ingénieur de développement logiciel dans l'essai (SDET), situé à Redmond.

Microsoft, a déclaré le porte-parole, a passé en revue ses activités et est persuadé qu'il n'a pas compromis le logiciel de l'entreprise ou de systèmes.

Karetnikov était détenu depuis Juin 28 sur les violations de l'immigration, selon le Wall Street Journal, et a été renvoyé chez lui le mardi, sans être accusé d'un crime.

Citant des sources anonymes, le Wall Street Journal a indiqué que Karetnikov venu à l'attention des agents du FBI à l'automne dernier dans le cadre de l'enquête depuis dix ans de l'agence en russe «clandestins», comme les espions profonde de couverture ont été appelés.

Cette enquête a conclu le mois dernier lorsque le ministère américain de la Justice chargé 11 personnes secrètement la collecte de renseignements pour la Russie.

Dix d'entre eux a plaidé coupable à agir comme des agents non enregistrées d'un gouvernement étranger et ont été expulsés la semaine dernière.

Le 11e a été arrêté à Chypre, puis a sauté sur le cautionnement.

Karetnikov aurait reconnu qu'il était aux Etats-Unis illégalement et a accepté de partir volontairement.

Il semble que ce soit des États-Unis n'avaient pas l'suffisamment de preuves pour l'inculper ou que l'intérêt national était mieux servi par la distribution d'une procédure judiciaire.

Des responsables américains négociés les agents qu'ils détenu pendant quatre Russes emprisonnés en Russie sur les redevances liées à l'intelligence la semaine dernière.

Le swap espion est largement considérée comme un moyen de désamorcer les tensions internationales accrues par les arrestations et d'aider à renforcer les relations entre les Etats-Unis et la Russie, un objectif privilégié par les dirigeants des deux pays.